Energie : La transition énergétique vers des sources renouvelables est cruciale pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Cependant, cette transition nécessite des investissements massifs dans les infrastructures, les technologies de stockage et les réseaux intelligents. La raréfaction des ressources fossiles et la volatilité des prix de l’énergie ajoutent une pression supplémentaire sur les coûts pour les ménages et les industries. De plus, la France doit améliorer son efficacité énergétique pour réduire sa consommation globale d’énergie de 50 % d’ici 2050 par rapport à 2012. Enfin, la sécurité énergétique reste une préoccupation majeure, nécessitant une diversification des sources d’approvisionnement et une résilience accrue face aux perturbations géopolitiques.

Environnement : La lutte contre le changement climatique nécessite des actions concertées pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et promouvoir les énergies renouvelables. La protection de la biodiversité est également essentielle, avec des mesures pour prévenir la perte d’habitats naturels et restaurer les écosystèmes dégradés. L’artificialisation des sols et la pollution de l’air et de l’eau restent des défis majeurs, nécessitant des politiques robustes et des investissements dans des technologies propres. Enfin, la sensibilisation et l’éducation du public encouragent des comportements plus durables et soutiennent les initiatives environnementales.

Côté entreprises, la transition vers une économie circulaire, la réduction des émissions de carbone, la prise en considération voire gestion des écosystèmes, l’investissement dans des technologies vertes, le respect des règles environnementales toujours plus accrues ainsi que le financement de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) sont les enjeux clés à venir.

L’énergie, secteur où l’investissement est plus prioritaire que cela de la compétivité, nécessite des approches d’innovation participative et aussi de service client de qualité. L’alignement stratégique, et la réussite de programmes majeurs permet d’en garantir le bon déploiement.

Sur le secteur de l’environnement, la priorité est d’en démontrer l’efficacité, et la compétitivité est un axe clé à déployer, largement, au niveau du management notamment.