Et si le monde de la formation devenait vraiment pratique,
orienté sur les besoins terrain et non des catalogues de formations ?

Et si nous regardions les enjeux de ce secteur de la formation,
et, surtout, comment imaginer une évolution vers bien plus d’efficacité ?

Le monde de la formation est un marché considérable.
En France, ce marché dépasse les 30 milliards d’euros annuels.
Ce secteur est fortement encadré par des régulations strictes :
certification qualité, obligations de résultat, normes d’accessibilité…
Ainsi que d’un financement souvent complexe via des fonds publics et paritaires.

Malgré la présence de milliers d’organismes de formation,
le secteur souffre d’inefficacités notables :
– formations parfois déconnectées des besoins réels,
– difficultés d’accès pour certains publics,
– et un retour sur investissement difficile à mesurer précisément.

Les formats de plateformes asynchrones et hybrides
n’ont pas apporté de vraies réponses à ces enjeux.

Dans le domaine des transformations et formations en performance,
Les formations classiques sont, bien que très structurées,
souvent éloignées des cas spécifiques à chaque individu.
Les formateurs se présentent avec des concepts, méthodes et études de cas,
mettent en œuvre les outils sur des situations simulées, ou projetées du terrain…

Pour reprendre le principe fondamental du lean, le gemba,
C’est être sur le terrain qui compte, là où les problèmes et la réalité comptent.
Alors, faut-il accompagner chaque participant sur le terrain ?
Dans le cadre des méthodes en performance, cela semble compliqué, et prohibitif…
Pourtant, une autre approche existe, la formation-action

Les formations–actions, orientées terrain, réponse en performance intrinsèque
J’ai été formé par un expert en World Class Manufacturing,
pendant plus d’une décennie, à mettre en place des formations-actions
dans des centaines d’environnements différents :
dans un atelier de production, en logistique, au sein d’équipes fonctionnelles…

Comment cela se met en place, avec une légère préparation pour personnaliser au contexte.
À chaque équipe, un temps préparatoire rapide permet d’identifier les enjeux,
ainsi que l’approche préconisée en termes d’outils de performance.
Puis les différents prérequis sont préparés par l’équipe des participants, qui ensuite
passe plus de deux tiers du temps à mettre en place la méthode la plus adaptée.

Ces participants peuvent tous provenir de cette zone de travail,
ou alors être mélangés avec d’autres fonctions.
Le constat presque systématique est celui de faire bouger les lignes des activités considérées,
et, à la fin de la formation (de un à cinq jours), cette activité est fortement améliorée.

Les opérationnels témoignent qu’ils ont gagné du temps sur leur travail,
et non pas perdu du temps,
comme c’est le cas des formations en salle.

Voici un exemple de formation-action réalisé
au sein du Mastère innovation & transformation à CentraleSupélec, 
avec des étudiants intervenant au sein des entreprises : https://tinyurl.com/excellence-formation

Et si vous rendiez vraiment service à vos équipes opérationnelles
avec des formations orientées terrain, et résolvant vraiment leurs enjeux ?

Retrouvez le livre La performance intrinsèque, disponible ici : https://tinyurl.com/inperf-org