Vous vous rappelez les 3 équations simples sur nos compétences ?
- Hard Skill = Hémisphère Gauche = votre Quoi
- Soft Skills = Hémisphère Droit = votre Comment
- Why Skills = Corps Calleux = votre Pourquoi
Alors, c’est simple à écrire et dire, modéliser ainsi…
voyons maintenant l’impact que cela a vraiment !
Les domaines d’application et les gains des Hard-Soft-Why skills
Allons droit au but : pas un domaine n’y échappe
En entreprise, et en dehors…
Peut-être pas si vous viviez seul sur île déserte, quoique
LĂ encore, les Why skills vous aideraient Ă tenir bon !
Le management et leadership, peut-être le sujet le plus cité
et mystérieux des entreprises, est au cœur du débat.
Les managers, c’est du Hard skill : gérer, organiser, répartir
Les leaders, c’est autre chose, un mélange de
Soft skills : écouter, orienter, faire réfléchir, questionner
et de Why skills : inspirer, apporter une vision, motiver, engager…
Encore plus que le management, le domaine des projets et programmes
a beaucoup changé ces dernières décennies
Selon les études des organismes référents -PMI, Prince 2, Harvard…
Plus de 70% des compétences des chefs de projet sont de la communication
ou plutôt, de l’embarquement, soit du Why skills.
La stratégie et l’organisation sembleraient pouvoir y échapper
La stratégie est une question de connaissances et de compétences ?
Oui pour l’établir, non pour la décliner, là où 80% des déclinaisons échouent.
Il en va de même pour les réorganisation, les fusions-acquisition
Où, au-delà des critères d’optimisation et de rationalisation,
Les réussites sont basées avant tout sur la culture, un mélange de Soft et Why Skills.
Les critères de choix des ressources suivent le modèle Hard-Soft-Why skills
Les modèles RH se basent souvent sur la combinaison compétences x motivation
D’un côté les compétences Hard, de l’autre l’envie d’évoluer…
Mais, pour tous ceux qui ont changé de poste, ils ont vécu cette dure réalité :
Le recrutement est d’abord sur les Hard skills, puis sur les Soft skills
Il en va de même pour la mobilité interne…
Les consultants et formateurs sont d’abord choisis sur le Hard puis Soft
Alors les Why skills, on est loin d’en parler…
Certaines analogies et métaphores sont intéressantes à prendre en considération
Le film avec Léonardo Di Caprio “Attrape-moi si tu peux !”
montre bien la différence entre les Hard et Soft skills.
Le plus grand mystificateur ne peut remplacer les Hard skills
Même si son talent de mimétisme, et relationnel -ses Soft skills
l’aident à se sortir de nombreuses situations compliquées…
Julia de Funès, philosophe, écrivaine et conférencière de renom,
a un style unique et direct pour justement confronter
l’omniprésence dans les conversations des Soft skills
Et pourtant le manque de rigueur, et d’efficacité démontrée dans leur développement…
De mĂŞme, dans son livre Les managers de l’âme,
Valérie Brunel nous met en garde contre ces gourous du leadership
qui font trop de développement personnel en entreprise,
Ce qui n’est pas l’objectif de l’entreprise…
J’en tiens pour preuve les retours et témoignages de nombreux dirigeants
Au sein d’Inspiring Organizations, nous travaillons avec plusieurs dirigeants
D’autres nous ont rejoint, ou sont des partenaires inspirants,
Et ils nous confirment tous que les compétences Hard tiennent le haut de la rampe
Pourtant, dans un monde en constant changement, en incertitude croissante,
Il est indéniable que les Soft skills aide à coopérer, avancer ensemble
Et les Why skills Ă aller bien plus loin, en se recentrant
Notre approche est simple :
Le FOCUS renforce les Why skills depuis la stratégie et la vision
Le FLOWS s’appuie sur la croissance des Soft et Hard skills au sein de l’organisation
Le TOTEM contribue et pilote les Hard skills en les conciliant aux Soft et Why skills.
Nous allons approfondir ces points lors du Webinaire “Hard, Soft et Why Skills : comment être bankable ?” le jeudi 25 Avril 2024 à 18:30Inscription ici : https://www.eventbrite.fr/e/billets-hard-soft-et-why-skills-comment-etre-bankable-881187103347?aff=oddtdtcreator
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