L’agilité, c’est comme la confiture, et aussi la culture… Moins on en sait plus on l’étale… Et si nous regardions les différentes dimensions de culture, ou d’art, de l’agilité ?’

L’agilité est un principe culturel différent, elle fait basculer les projets de la structure plus rigide vers une structure plus souple, à tous les niveaux de l’organisation. On retrouve deux dimensions complémentaires dans le coaching agile : la performance et l’humain. 

Un changement de culture avec l’agile…

La profession de coach est une des professions les plus vastes et variées dans ses déclinaisons. Elle se décline dans ses domaines d’applications, et sur le sujet du fonctionnement des équipes, sur les produits… L’agile se concrétise avec une modalité de fonctionnement très efficace et dynamique. 

Le coaching agile, c’est quoi ?

Le coaching est une posture  très différente de celle de consultant – expert. En effet, c’est l’art de poser des questions, de s’adapter au contexte et surtout de permettre aux autres de trouver leurs réponses… Et dans la dénomination coach agile on retient souvent un expert dans l’agilité… donc une possible opposition entre donner ses conseils 

6% seulement des coachs sont satisfaits de la mise en œuvre des pratiques Agiles dans les organisations dans lesquelles ils travaillent. Et 49% des coachs pensent que celles-ci se trouvent en échec. 

Les 5 dimensions du coaching agile

Le coaching agile se déploie selon 4 + 1 dimensions : l’agilité managériale, l’agilité comportementale, l’agilité clients, l’agilité partenaires et l’agilité transformation. 

L’agilité managériale est parfois représentée par la pyramide hiérarchique inversée. En agilité managériale, le plus important ce sont les personnes terrain, en contact avec les produits et services. On parle aussi de ‘Servant leadership’, être au service de ses équipes, tout en conservant son autorité hiérarchique… Cela se décline aussi en posture de ‘manager coach’ dans le cadre d’un rôle de manager.

L’agilité comportementale, une agilité qui concerne la résistance au changement, sur comment dépasser la peur de l’inconnu qui est pratiquement ancrée dans notre cerveau, ce qui est la principale racine de la résistance. Et dans l’agilité, la flexibilité impose de se remettre en question; cet accompagnement au quotidien est fondamental.

L’agilité clients, explique sur comment développer l’intrapreneurship -devenir des intrapreneurs-, déployer le focus client. Il ne s’agit pas seulement de développer marketing ou des ventes mais surtout, pour tous les membres de l’organisation, d’être focus sur l’apport de valeur dans nos produits et services au client. 

L’agilité partenaires développe comment se fait l’extension de la dimension d’agilité interne avec des partenariats gagnants-gagnants : que ce soient des fournisseurs ou clients, comment être agile aussi dans nos activités communes ?

En conclusion, l’agilité transformation, elle est liée au fait  que la transformation, même agile, prenne du temps pour se diffuser et s’approprier. Il faudrait alors appliquer les principes d’adaptation à la transformation : notre transformation d’organisation évolue dans le temps avec les apprentissages des premières directions ou équipes accompagnées

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